uni pour la paix

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Uni pour la paix

Quand l’artiste diffuse son inquiétude et invite par la vision de ses images, à se mobiliser en signe d’espoir, sur un monde qui se fragilise.

Les équilibristes influents jouent à grands coups de tronçonneuse entre les pieds d’une chaise qui, place de l’ONU, tremble mais résiste vaillamment.
Les travailleurs font pâles figures. les amputations provoquées par les bûcherons de la société, font des ravages. N’épargnant aucune profession, ils les envoient à l’abattoir sans frémir.
Les champs de batailles se multiplient, les haut-gradés de tous bords s’en donnent à coeur joie.
L’intelligence devient artificielle et menace d’en faire qu’à sa tête. Le créateur qui avait une place céleste s’éloigne de notre vue cachée par des nuages de données.
L’église, parfois entachée, se ternit peu à peu et essaye de garder son côté immaculé. Que reste-t-il, alors, de l’homme simple, aveuglé par les loisirs?
Cet homme qui luttera toujours, envers et contre tout, doit chercher en lui le moyen de s’apaiser, de prendre le temps de voir qu’il est aussi entouré de plein de valeurs positives. A plusieurs, on balaye un plus grand horizon, afin de découvrir les colombes de paix, disséminées de part et d’autre.

Voilà le rêve imaginé de l’artiste.

Une chaise en péril

Une Gaggiographie pour condamner les conflits dans le monde.
Une version un peu détournée de l’esprit de la véritable chaise crée par l’artiste Daniel Berset.

 
 

Statue d’Albert Thomas

Une Gaggiographie sur la base d’une photo de la statue d’Albert Thomas devant le bâtiment de l’Organisation mondiale du commerce.
L’oeuvre résume la vision du BIT: « Le travail doit être placé au-dessus de toutes les luttes de concurrence. Il n’est pas une marchandise. »

 
 

Eglise Orthodoxe (GE)

Une Gaggiographie sur la base d’une photo l’église orthodoxe de la ville de Genève.
« L’église orthodoxe de Genève apparaît dans le photomontage, intacte et volontairement épargnée : elle n’est ni déformée ni critiquée. Ce choix assumé affirme clairement que l’œuvre ne vise aucune religion en particulier, mais interroge plutôt ce qui nous oppose au nom du sacré. »
Le Bouddha, placé dans le ciel au-dessus de la scène, incarne quant à lui un appel à la tolérance, un symbole paisible qui transcende les frontières spirituelles. Dans ce contexte, l’expression même de ‘guerre de religion’ résonne comme une aberration, un non-sens face à ce que toutes les croyances devraient partager : le respect et la coexistence. »